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samir bouzid & سمير بوزيد

2 juillet 2020

Maroc constitutionnaliser la lutte contre la corruption

Maroc constitutionnaliser la lutte contre la corruption
M. Samir Bouzid, vice-Président de l’instance Nationale pour la Protection des Biens Publics au Maroc (INPBPM) estime que des mesures préventives et punitives s’imposent pour mettre fin au phénomène de la corruption. Pour lui, seul un mécanisme de surveillance...
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4 mai 2020

Procès CIH, ONDA, CNSS au Maroc

Procès CIH, ONDA, CNSS au Maroc
Le procès de l’ONDA, dans lequel l’ex-DG Abdelhanine Benalou est poursuivi pour détournement et dilapidation de deniers publics, s’est ouvert mi-février. Le procès de la CNSS, dans lequel sont poursuivis deux anciens DG, Mohamed Gourja et Rafik Haddaoui,...
5 avril 2020

Corruption au Maroc

En trois semaines, le Maroc a enregistré la réforme du code pénal qui condamne désormais plus sévèrement la corruption, et la publication de la liste des magistrats promus et sanctionnés par la Conseil supérieur de la magistrature. Elles forment des avancées...
7 février 2020

LES FONCTIONNAIRES «FANTÔMES», UN VÉRITABLE DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLIC

LES FONCTIONNAIRES «FANTÔMES», UN VÉRITABLE DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLIC
- L’Economiste: Peut-on avancer des chiffres précis lorsqu’il s’agit de fonctionnaires «fantômes»? - Samir Bouzid: D’abord, le devoir d’informer les citoyens est indispensable pour tout gouvernement qui se veut crédible. La précision dans les chiffres...
12 mars 2019

Plus l'arbre est haut , plus ses racines sont profondes.

Plus l'arbre est haut , plus ses racines sont profondes.
Graine tu étais,racine tu es devenue. Plus l'arbre est haut , plus ses racines sont profondes,ai-je dis à la branche qui veut renier ses racines. Samir Bouzid le 03 juillet 2012
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12 février 2019

Chaque fois que mes feuilles tombent .Je suis triste.

Chaque fois que mes feuilles tombent .Je suis triste en pensant aux sept œufs qui se trouvent dans les quatre nids de mes douze branches .Dis je à celui qui me déracine pour se multiplier. Samir Bouzid le 13 juin 2012
18 décembre 2012

التضامن في إطار عمل الأمم المتحدة

حدد مفهوم التضامن عمل الأمم المتحدة منذ إنشائها. فقد جمع إنشاء المنظمة شعوب العالم وأممه على تعزيز السلام، وحقوق الإنسان، والتنمية الاقتصادية والاجتماعية. وقد تأسست المنظمة على فرضية أساسية للوحدة والانسجام بين أعضائها، كما عُبّر عن ذلك في مفهوم الأمن الجماعي الذي يستند إلى التضامن بين أعضائها للاتحاد ’’ لصون السلم والأمن الدوليين‘‘.


 

وتستند المنظمة على روح التضامن هذه في ’’تحقيق التعاون الدولي لحل المشاكل الدولية ذات الطابع الاقتصادي أو الاجتماعي أو الثقافي أو الإنساني‘‘.


 

يُعرّف التضامن في إعلان الألفية بأنه أحد القيم الأساسية للعلاقات الدولية في القرن 21، حيث يستحق الذين يعانون (ومن لم يستفيدون كثيرا من العولمة) المساعدة والعون ممن استفادوا كثيرا منها. وبناء على ذلك، يغدو تعزيز التضامن الدولي، في سياق العولمة وتحدي تزايد التفاوت، أمرا لا غنى عنه.


 

ولذا أعلنت الجمعية العامة يوم 20 كانون الأول/ديسمبر، بوصفه اليوم الدولي للتضامن الإنساني، إيمانا منها بأن تعزيز ثقافة التضامن وروح المشاكرة هو أمر ذو أهمية لمكافحة الفقر.


 

وعزز مفهوم التضامن، من خلال مبادرات من قبيل إنشاء صندوق تضامن عالمي للقضاء على الفقر وإعلان اليوم الدولي للتضامن الإنساني، بوصفه عنصرا حاسما في القضاء مكافحة الفقر وإشراك جميع أصحاب المصلحة ذوي الصلة.


 

 

18 décembre 2012

The UN and the Concept of Solidarity

The concept of solidarity has defined the work of the United Nations since the birth of the Organization. The creation of the United Nations drew the peoples and nations of the world together to promote peace, human rights and social and economic development. The organization was founded on a basic premise of unity and harmony among its members expressed in the concept of collective security that relies on the solidarity of its members to unite “to maintain international peace and security”.

It is in the spirit of solidarity that the organization relies on “cooperation in solving international problems of an economic, social, cultural or humanitarian character” as well.


Solidarity is identified in the Millennium Declaration as one of the fundamental values of international relations in the 21st Century, wherein those who either suffer or benefit least deserve help from those who benefit most. Consequently, in the context of globalization and the challenge of growing inequality, strengthening of international solidarity is indispensable.

Therefore, the UN General Assembly, convinced that the promotion of the culture of solidarity and the spirit of sharing is important for combating poverty, proclaimed 20 of December as International Human Solidarity Day.

Through initiatives such as the establishment of the World Solidarity Fund to eradicate poverty and the proclamation of International Human Solidarity Day, the concept of solidarity was promoted as crucial in the fight against poverty and in the involvement of all relevant stakeholders.

http://www.canalblog.com/cf/my/?nav=blog.manage&bid=836618

 

18 décembre 2012

Journée internationale de la solidarité humaine 20 décembre

La Journée internationale de la solidarité humaine sert à nous rappeler l’importance de la solidarité pour réaliser les objectifs internationaux, comme les programmes d’action des conférences internationales et les accords multilatéraux.


 

Cette année, nous célébrons la Journée internationale de la solidarité humaine alors que nous traversons une période de transition inédite. (...) La solidarité est d’une importance vitale pour résoudre les problèmes qui surgissent dans un monde où tout se tient. (...) Nous pourrons atteindre les objectifs que nous partageons si les populations sont à même de participer à la formulation et à la mise en œuvre des plans, des politiques et des programmes afin d’édifier un avenir commun. »

Message de M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l'ONU
Journée internationale de la solidarité humaine, 20 décembre 2012


 

10 décembre 2012

Lettre ouverte a la 4ème session de la Conférence des États Parties à la Convention des Nations-Unies contre la Corruption

Lettre ouverte a la 4ème session de la Conférence des États Parties à la Convention des Nations-Unies contre la Corruption
Dans le cadre du développement administratif de ses structures de gouvernance, le Royaume du Maroc accueille la 4ème session de la Conférence des États Parties à la Convention des Nations-Unies contre la Corruption du 24 au 28 Octobre 2011 à Marrakech
Partant de sa conviction que ce fléau mondial ronge les sociétés, mine les bases du développement économique et du progrès social, provoque le déclin des valeurs morales et une baisse de confiance dans les institutions de la Constitution.
Ce fléau constitue, en outre, un obstacle majeur à la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement. Il entrave les efforts déployés par les peuples pour réaliser le développement global et durable visé, favorisant l’accentuation de la pauvreté et de la vulnérabilité, ce qui constitue une menace pour la sécurité et la stabilité des nations.
Démocratie citoyenne et participative
« Fidèle à son choix irréversible de construire un Etat de droit démocratique, le Royaume du Maroc poursuit résolument le processus de consolidation et de renforcement des institutions d’un Etat moderne, ayant pour fondements les principes de participation, de pluralisme et de bonne gouvernance », Préambule de la nouvelle Constitution de 2011, paragraphe 1.

C’est un choix irréversible, souligné dans le préambule et consacré par les dispositions de la Nouvelle Constitution, approuvée par une large majorité du peuple marocain lors du référendum du 1er juillet 2011.
Dans cette perspective, l'Instance nationale de protection des biens publics au Maroc

L'INPBPM qui a à été reçu par la Commission Consultative de la Révision de la Constitution au Maroc (CCRC), au sujet de la réforme constitutionnelle; estime que La transparence et la participation du public à la mise en oeuvre et au suivi de la CNUCC sont les clés du succès Seul un mécanisme de surveillance efficace inspirant la confiance du public peut être fructueux.

Le travail de la société civile sur ces points est difficile car il implique la promotion d’instruments et processus juridiques qui sont en partie très techniques et que les citoyens ordinaires peuvent juger comme dépassant leur entendement, leur expérience et leur champ d’intérêt. Ce qui est également difficile, c’est que les dispositions des conventions sont souvent formulées en termes généraux et que par conséquent les organisations de la société civile et leurs gouvernements doivent interpréter ces exigences et trouver les moyens de vérifier si le gouvernement a fait ce qu’exige la convention.

Ainsi, dans le cadre de DECLARATION DE LA COALITION UNCAC  l'Instance Nationale de Protection des Biens Publics ou INPBPM, appelle la Conférence des Etats parties à la CNUCC à adopter, Les résolutions suivantes lors de la 4ème session de la Conférence des États Parties à la Convention des Nations Unies contre la Corruption du 24 au 28 Octobre 2011 à Marrakech

L’ARTICLE 13 

la Coalition UNCAC appelle la Conférence des Etats parties, lors de sa quatrième session, à adopter une résolution:


1. Exhortant les parties à réaffirmer leur engagement envers l’Article 13 de la CNUCC et les dispositions qui y sont associées, ainsi qu’envers les pratiques de transparence et de participation. Cela inclut :

-De garantir que les lois sur l’accès à l’information sont en place dans leur pays et sont appliquées dans la pratique ;

-De garantir que les informations sur la CNUCC sont largement diffusées et que les informations sur les mesures gouvernementales de lutte contre la corruption sont largement accessibles, y compris les informations relatives aux efforts déployés pour assurer l’application de la Convention (statistiques, jurisprudence), à la passation des marchés publics, à la gestion des budgets publics, et aux autres mesures ;

-Que le public peut participer à la lutte contre la corruption, notamment par le biais de consultations gouvernementales et de contributions aux processus d’examen. 2. 
• Prévoyant que les Règles de procédures de la CEP, y compris la Règle 17, s’appliquent au Groupe d’examen de l’application, en conformité avec l’opinion du Bureau des affaires juridiques de l’ONU, confirmant ainsi la participation des représentants de la société civile aux réunions du Groupe d’examen de l’application en
tant qu’observateurs.

3. Prévoyant la participation des représentants de la société civile, en tant qu’observateurs, aux réunions du Groupe de travail intergouvernemental à Est la convention par laquelle plusieurs personnes ont mis en commun d'une façon permanente leurs connaissances Et leur activité dans un but autre que de partager des bénéfices
composition non limitée sur la prévention de la corruption et demandant au groupe de travail de solliciter l’avis de la société civile sur les indicateurs du succès de la mise en oeuvre du Chapitre de la CNUCC sur la prévention, y compris des Articles 10 et 13.

4. • Reconnaissant les avantages des visites de pays au cours desquelles les équipes d’examen rencontrent des représentants de la société civile et d’autres parties prenantes, ainsi que les avantages d’une publication d’une liste des points de contact gouvernementaux, d’un calendrier des visites de pays, des auto-évaluations et des
rapports d’examen dans leur intégralité, et appelant les Etats parties à inclure ces éléments dans leurs processus d’examen.

5. • Exigeant la participation de la société civile et la publication des rapports d’examen dans leur intégralité lors du prochain cycle de cinq ans du processus d’examen.

Les mesures susmentionnées sont essentielles à la crédibilité publique de la CNUCC et de son mécanisme de suivi. Elles constituent le point de départ pour de vrais efforts contre la corruption.

Recouvrement d’avoirs

la Coalition UNCAC appelle la Conférence des Etats parties à la Convention à adopter, lors de sa quatrième session, une résolution:

• Entérinant les recommandations proposées par l’étude de StaR et exhortant les Etats parties à les appliquer. En particulier, et à la lumière des récents efforts de recouvrement d’avoirs menés dans le monde arabe, les Etats parties devraient être appelés à adopter et mettre en place un cadre juridique facilitant le gel et la restitution des avoirs, couvrant notamment les cas dans lesquels les pays dont les fonds ont été détournés disposent de ressources limitées ainsi que les situations où il est difficile, voire impossible, de poursuivre les agents publics corrompus ;

• Créant un fonds international destiné à fournir un appui dans le domaine du recouvrement d’avoirs ;

• Mandatant le Groupe de travail intergouvernemental sur le recouvrement d'avoirs aux fins d’étudier la possibilité d’introduire un mécanisme de requêtes en matière de recouvrement d’avoirs ainsi que la possibilité de placer sous séquestre les avoirs gelés ;

• Reconnaissant que les citoyens des pays victimes de détournement d’avoirs sont collectivement victimes, en application de la Déclaration de principes fondamentaux de justice relatifs aux victimes de la criminalité et aux victimes d'abus de pouvoir adoptée par l’Assemblée générale dans sa résolution 40/34 du 29 novembre 1985 et
qu’ils peuvent être représentés par des organisations de défense des intérêts collectifs agissant de bonne foi dans le cadre de poursuites civiles ou pénales ou de tout autre procédure adéquate ;
• Rappelant aux Etats parties leur engagement, conformément à l’Article 9 de la Convention, à prendre les mesures adéquates pour promouvoir la transparence et la responsabilité dans la gestion des finances publiques, y compris la communication en
temps utile des dépenses et des recettes; et appelant les Etats à garantir que ces règles de transparence et de responsabilisé soient également appliqués aux avoirs restitués.

Lutte contre le blanchiment d’argent
Vu qu’il vaut toujours mieux prévenir que guérir, une attention particulière devrait être portée aux mesures anti-blanchiment d’argent dans la lutte globale contre la grande corruption. Si la communauté internationale a largement réussi à introduire dans la plupart des législations nationales les standards élémentaires en matière de lutte anti-blanchiment, leur mise en oeuvre effective comporte encore des lacunes.

En conséquence, la Coalition UNCAC appelle la Conférence des Etats parties, lors de sa quatrième session, à adopter une résolution:

• Exhortant les Etats parties à rapidement se conformer aux exigences de la Convention et aux autres standards internationaux en matière de prévention du blanchiment d’argent, et à les appliquer effectivement. Cela devrait inclure la mise en oeuvre par les banques des mesures de vigilance consistant d’une part à identifier l’ayant droit économique/bénéficiaire économique des fonds, ainsi que les clients ayant le statut de Personnes Politiquement Exposées (PPE), et d’autre part à signaler à la cellule des renseignements financiers les transactions suspectes effectuées par ces mêmes personnes. Avant d’accepter des fonds provenant de figures politiques de haut rang particulièrement exposées (au risque), les banques devraient être tenues
de mettre en place des mesures de vigilance permettant d’établir de manière satisfaisante que ces fonds proviennent d’une activité légale, en particulier si il existe une disparité significative entre la richesse des PPE et leur sources de revenu officielles. De plus, les Etats d evraient procéder à un examen approfondi quant à la façon dont leurs banques gèrent les risques associés aux PPE, comme vient de le faire le Royaume Uni, et publier les résultats de cet examen;
• Exhortant les Etats parties à exiger la tenue de registres nationaux des sociétés et des trusts – ou toute autre entité juridique équivalente – indiquant l’identité des mandataires, des ayants droits économiques et/ou des donneurs d’ordre. Les registres devraient être rendus publics ; au minimum, les Etats parties devraient
autoriser le partage de ces informations avec les autorités de régulation et les autorités judiciaires compétentes, tant au niveau national qu’international, mais également les rendre accessible aux institutions financières pour les aider à appliquer les obligations de vigilance s’imposant à elles dans leurs relations avec les clients;

• Exhortant les Etats parties à introduire une législation adaptée en matière de protection des témoins et lanceurs d’alerte qui soit conforme aux articles 32 et 33 de la Convention, afin de permettre la détection du blanchiment d’argent et des autres infractions de corruption ;

• Demandant à l’UNODC de préparer pour la cinquième Conférence des Etats parties un rapport détaillé sur les efforts réalisés en matière de prévention et de lutte contre le blanchiment d’argent, comprenant une évaluation des pratiques sur les trois points mentionnés ci-dessus et assorti de recommandations concrètes.

M. Samir Bouzid, vice-Président de l'instance Nationale pour la Protection des Biens Publics au Maroc (INPBPM)
Signataire de la lettre ouverte au Président Obama :pour que l’abolition de la pauvreté prenne le pas sur la course aux armements 
0659826905



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samir bouzid & سمير بوزيد
  • Signataire de la lettre ouverte au Président Obama :pour que l’abolition de la pauvreté prenne le pas sur la course aux armements. Militant pacifiste; Étude supérieur: Anthropologie PARIS; ex vice président INPBPM; ex Vice Président INPBPTM
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